Diable boiteux (Le) (1857)

Informations générales

Titre :
Diable boiteux (Le)
Notes sur le titre :
Le Diable boiteux. Le sous-titre devient: "Journal hebdomadaire".
Devient :
Suite de : Le Courrier de Paris (1857)
Début :
19 avril 1857
Fin :
26 avril 1857
Adresse :
15, rue des Martyrs
Périodicité :
Hebdomadaire
Notes sur la périodicité :
Paraît le jeudi
Nombre de numéros :
2
Notes sur le nombre de numéros :
1re année, n° 1 (19 avr. 1857)-n° 2 (26 avr. 1857)
Format :
In-fol.
Nombre de pages :
8
Liens BNF :

Illustrations

Informations Bnf

Contributeurs Bnf

Responsables

DébutFinResponsableFonctionsNotes
1857-04-191857-04-26Guyot-Montpayroux, Antoine-Léonce Propriétaireet Rédacteur en chef.
1857-04-191857-04-26Pelloquet, ThéodoreAssocié 
1857-04-191857-04-26Watripon, AntonioAssocié 
1857-04-191857-04-26RocheAssocié 
1857-04-191857-04-26Lacroix, OctaveAssociéEx secrétaire de Sainte-Beuve. Auteur de L'Amour et son train, L'Ecole buissonnière, Les Chansons d'Avril, Du Culte de la Vierge au point de vue de la poétique religieuse. Journaliste au Moniteur, au Pays, à la Revue française, au Courrier de Paris.
1857-04-191857-04-26Viard, JulesAssociéEn tant que journaliste. 1842, entre au Figaro de Lepoitevin-Saint-Alme. 1843, collabore aux Coulisses, suite du précédent. 1844, collabore au Commerce, au Satan (suite des Coulisses), Satan-Corsaire, Corsaire (les uns étant les suites des autres). 1846, collabore au Courrier de Paris. 1847, collabore au Le Mercure des théâtres, la partie littéraire de L'Etoile. Octobre 1847, fonde Le Représentant du Peuple avec Charles Fauvety qui le cèdent à Proudhon. De 1849 à 1851, rédacteur en chef au Le Travail et Le Peuple à Dijon. En novembre, collabore au Le Travailleur à Limoge qui s'interrompt à cause des évènements du 2 décembre. En avril 1852, rédacteur en chef au Patriote Savoisien. Quelques mois après, il est poursuivi par la faction cléricale qui le contraint à le faire quitter des Etats-Sardes en vingt-quatre heures et à se réfugier à Genève en septembre. Il rédige Le Patriote que la faction cléricale tue. Après septembre 1852, rédige au Monde littéraire ("la chronique", "Courrier de Paris"), au Mousquetaire. De 1854 à 1856, entre au Figaro où il fonde "La Petite Gazette", fait les "Echos de Paris", qui donne ses lettres de noblesse au Figaro, et crée la personnalité du "Petit Père Legendre". En 1856, fonde le Polichinelle à Paris et travaille au Rabelais. En tant qu'auteur. 1846, L'Almanach des cocus par un homme de grâce, L'organisation du travail intellectuel, sur l'établissement d'une banque européenne de la librairie et sur la fondation d'un crédit intellectuel. 1847, Timon sur la sellette, Pierrot marié. 1852, La Vieillesse de Don Juan. 1855, Madame Mascarille. 1858, Les Petites Joies de la vie humaines, Frontin malade. Autres pièces, Le Bazar du mariage, La Rose enchantée, La Confrérie de la mort, L'Héritage du vice, Gilles exterminateur avec Varin.
1857-04-191857-04-26Duchesne, AlphonseAssociéEn tant qu'auteur, Auteur Les Chants d'un oiseau de passage, Le Livre d'or des métiers, Armande Béjart. En tant que journaliste, fit le spécimen d'un journal intitulé Le Censeur.

Sources

SourcePage(s) 
MAILLARD Firmin, Histoire anecdotique et critique de la presse parisienne, 2e et 3e années, 1857 et 1858 : revue des journaux de l'année, Paris, Poulet-Malassis et de Broise, 1859. 251 p.85 à 93
HATIN Eugène, Bibliographie historique et critique de la presse périodique française.533
WAGNEUR Jean-Didier et CESTOR Françoise, Les Bohèmes 1840-1870, Seyssel, Champ Vallon, 20121399